29.1.10

Consommation d'électricité


La Revue de Direction vient de faire le bilan de l'atteinte des objectifs 2009 de nos processus. Pour ce qui est du processus Environnement, j'ai le plaisir de vous annoncer que les axes de progrès ont en général était atteints ou sont en cours de l'être. Plus particulièrement, en matière de maîtrise de notre consommation d'électricité au siège, notre fournisseur d'électricité verte Eida (www.eida.lu, fournisseur d'électricité verte le plus écologique sur le marché national, 75% éolien, 12.5% biomasse, 12.5% hydraulique) informe que Lux-Development a réalisé des économies d'électricité au cours de l'an 2009.
Pour connaître les raisons exactes de la baisse de consommation d'électricité 2009 ainsi que le potentiel d'économies additionnelles, il a été convenu avec Eida d'effectuer en début 2010 une enquête énergétique de l'immeuble.

Cette enquête se base sur l'audit énergétique effectué fin 2007 et qui classe notre bâtiment en classe de performance énergétique G sur l'échelle allant de A (la meilleure classe) à I (la plus mauvaise).
Avec +/- 150 KWh/m2/a, ce qui équivaut à +/- 15 m3 de gaz/m2, la performance énergétique de l’immeuble est donc très mauvaise. Ceci pose un souci environnemental mais aussi financier à l’Agence.


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22.1.10

Cena de Año Nuevo en Managua


El pasado 7 de Enero, la Embajada de Luxemburgo y la Oficina Regional de Lux-Development, ofrecieron una Cena de Año Nuevo a los equipos de los proyectos de Nicaragua.

La Cena se llevó a cabo en un hotel de la capital. Durante el evento el Encargado de Negocios a.i. de la Embajada (René Lauer) y el Representante de la Oficina Regional (Pascal Rossignol) dieron unas palabras de agradecimiento a todos los presentes por los esfuerzos y logros obtenidos en el 2009, animándolos a trabajar siempre como un gran equipo.

Durante la Cena se hicieron algunas dinámicas (intercambio de grupos, rifas y un ameno baile) lo que permitió a todos compartir en un ambiente de compañerismo.


Artículo de Liliana Aragon

Adjuntamos algunas fotografías….




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14.1.10

Salud llegará a Belén


Las obras del Centro de salud de Belén avanzan gracias al apoyo del Gran Ducado de Luxemburgo.
LA PRENSA/ R. VILLAREAL


CORRESPONSAL / RIVAS

Los habitantes de Belén, Rivas, pronto contarán con un moderno centro de salud, el cual fue donado por el Gran Ducado de Luxemburgo, como parte de un programa que contempla la construcción de tres centros asistenciales en La Concepción, Masaya; Diriamba, Carazo y Belén.

Según los datos del proyecto, la donación de Luxemburgo para estos tres centros de salud consiste en 750 mil euros, repartidos en un costo de construcción de 250 mil para cada uno de los centros a construirse.

El nuevo centro de salud de Belén estará ubicado cerca de la comunidad de Pueblo Nuevo y su construcción está a cargo de la constructora NAP Ingenieros, S.A., la cual inició las labores el 17 de agosto y concluye en un plazo de 210 días a finalizar el próximo 14 de marzo, indicó Juan Pérez Quintanilla, jefe de proyectos de la Alcaldía de Belén.

Pérez detalló que la Alcaldía de Belén además de supervisar la construcción, donó el terreno al Ministerio de Salud, para hacer posible que Luxemburgo hiciera efectivo el donativo, y garantizar que este municipio tenga muy pronto el centro de salud más grande de Rivas, después del hospital Gaspar García Laviana, manifestó.

Este nuevo centro de salud contará con su propio pozo de agua potable, su laboratorio, farmacia, pilas sépticas, varias salas de consulta y un amplio parqueo para vehículos y ambulancias, según el diseño que la constructora está ejecutando.

Pérez manifestó que se contemplaba la posibilidad de construir un expulsivo para labor y parto, pero indicó que no tenía certeza si éste había sido descartado del diseño.

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7.1.10

Le mil, aliment du futur au Sahel

Le mil est la base de l'alimentation quotidienne des 50 millions d’habitants du Sahel. Extrêmement résistant à la sécheresse et bien adapté aux sols pauvres, il reste la seule culture correspondant véritablement aux conditions du milieu et aux habitudes alimentaires traditionnelles.


 © IRD / Claire Costis

Pourtant, les récoltes varient considérablement en fonction de la pluviométrie et de la fertilité des sols. Sécheresse accrue d'année en année, changement climatique, désertification : pour faire face à la grande variabilité des conditions environnementales dans la région et assurer des rendements suffisants, les agriculteurs sahéliens doivent pouvoir choisir des variétés adaptées. Depuis sa domestication il y a plus de 3500 ans, l'homme a ainsi sélectionné des caractères agronomiques importants et développé une grande diversité de variétés, adaptées notamment à différents climats.

Les chercheurs de l'IRD et de l'Université Abdou Moumouni à Niamey, au Niger, viennent d'identifier un gène responsable de cette adaptation. Dénommé PHYC, il s’agit d’un des gènes jouant un rôle dans la perception de la lumière chez les plantes. Dans le contexte de changement climatique actuel, la découverte de ce facteur génétique clé permet le développement de variétés appropriées.


© IRD / Modeste Djossou
Consommation de bouillie à forte densité energétique


Principale source d’énergie de millions de personnes, le mil est le pilier de la sécurité alimentaire au Sahel. C'est une des cultures vivrières les plus importantes de la région, avec deux autres céréales le sorgho et le riz. Au Niger, le deuxième producteur d’Afrique après le Nigeria, il couvre par exemple plus de 65% de la surface cultivée et constitue près des trois quarts de la production céréalière du pays. C’est en effet la culture la mieux adaptée aux zones arides et semi-arides.

Le mil est cultivé depuis plus de 3 500 ans dans tout le Sahel et les pays tropicaux d’Afrique de l’Ouest. Originaire du Niger et du Mali, sa culture s'est diffusée en Afrique équatoriale puis vers l'Inde, notamment grâce à une adaptation génétique à différents climats, un des facteurs clé de la domestication et de la diffusion des plantes cultivées.


@ IRD / Cédric Mariac - Culture du mil, Niger

Un gène, une adaptation

Quels gènes l’homme a-t-il sélectionné au fil des millénaires afin de cultiver le mil sous différents climats? Pour le savoir, les chercheurs de l’IRD et de l'Université Abdou Moumouni à Niamey, au Niger, ont déterminé un des responsables de cette adaptation : le gène appelé PHYC qui joue un rôle prépondérant dans la perception de la lumière par la plante. Les scientifiques ont en effet découvert une association significative entre les variations génétiques, d'une espèce à l'autre, du gène PHYC et celles de la durée de floraison, ainsi que de certains traits morphologiques tels que la longueur des épis et le diamètre de la tige. Or, la floraison est étroitement liée aux conditions climatiques : une variété à floraison longue est mieux adaptée aux climats plus humides, et inversement. Par exemple, les espèces cultivées en Afrique tropicale côtière fleurissent en 160 jours, tandis que la floraison des variétés sahéliennes peut être observée dès 45 jours. Jusqu’à présent, les facteurs génétiques soulignant les différences entre ces variétés étaient inconnus.

Une méthode innovante

Pour identifier le gène PHYC, les chercheurs ont utilisé une méthode novatrice qui prend en compte l'histoire évolutive des populations de mil. Ils ont tout d’abord sélectionné 90 lignées et mené 3 essais de terrain au Niger entre 2005 et 2006 pour les caractériser. Date de floraison, ramification, hauteur de la plante, taille et diamètre de l’épi : tous ces paramètres ont été passés au crible. Les chercheurs ont alors séquencé1 huit gènes de floraison des lignées étudiées et ont appliqué une analyse statistique de ces différents gènes, tenant compte de la structure des populations et des liens de parenté dans les échantillons étudiés. Utilisant ainsi les croisements qui ont eu lieu depuis des milliers d’années, ils ont alors pu isoler très finement un gène très important pour l'adaptation du mil au climat.


© IRD / Marie-Noëlle favier
En pays Dogon, scène de village. Femmes pilant en rythme le mil dans des motiers en bois avec un pilon, entourées de leur enfant. La préparation des repas traditionnels demande de longues heures.







En pays Dogon, scène de village. Femmes pilant en rythme le mil dans des motiers en bois avec un pilon, entourées de leur enfant. La préparation des repas traditionnels demande de longues heures.
Jusqu’à présent, la recherche de tels facteurs génétiques consistait à effectuer des croisements afin d’obtenir des hybrides et à analyser les descendances ainsi obtenues. Cette méthode de croisement génétique ne permettait d’analyser que quelques générations d'individus et de n’isoler que des gros blocs chromosomiques. L’identification des gènes nécessite ensuite de nombreuses années de recherche supplémentaires. La nouvelle approche utilisée dans cette étude permet d’accélérer considérablement l’identification de gènes d’importance agronomique.


© IRD / Marie-Noëlle favier - Génétique des mils

Les prévisions des climats futurs de la zone sahélienne restent très incertaines. Cependant, les zones arides et semi-arides subissent des changements abrupts du climat. Ainsi, depuis 40 ans, le Sahel connaît une baisse tendancielle de la pluviométrie. L'identification du gène de l'adaptation du mil à différents climats permet de sélectionner et développer les variétés les plus appropriées dans un tel contexte de changement environnemental et climatique.
Le mil pourrait ainsi devenir le fer de lance de la lutte contre la sécheresse au Sahel.

 
Article original : Site IRD

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Capacitan docentes en parvularia

Los profesores beneficiados trabajan en municipios de los departamentos de San Miguel y Usulután.

Decenas de docentes que no tenían la especialidad de parvularia y que laboran en dicha área en diferentes centros educativos, fueron capacitados desde agosto de 2008 y fueron graduados recientemente por el Ministerio de Educación (MINED), con el apoyo del Gran Ducado de Luxemburgo.

El proyecto se desarrolló en el marco del plan social educativo 2009-2010, en la linea de dignificación del magisterio y desarrollo profesional docente.

De acuerdo con Juan Carlos Marcitlach, coordinador general del Programa de Apoyo a Comunidades Solidarias Rurales, la zona geográfica de desarrollo de las capacitaciones fueron para docentes de diez municipios de Usulután y tres de San Miguel, incluidos en la línea de pobreza extrema severa.

El aporte de Luxemburgo, gobierno al que también representa Marcitlach, fue de $630,000.

Los municipios beneficiados con la formación pedagógica de los docentes son Jucuarán, Concepción Batres, Santa Elena, San Agustín, San Francisco Javier, Tecapán, Ozatlán, Alegría, Berlín y Mercedes Umaña, San Miguel, San Jorge, sesori y Ciudad Barrios, de los departamentos de Usulután y San Miguel.

Con la capacitación fueron beneficiados 160 maestros de parvularia de Usulután y 29 de San Miguel.

El proceso, que inició en agosto de 2008, finalizó en el presnete mes de diciembre.

La Universidad

Pedagógica fue contratada por el MINED para facilitar el diplomado. Mientras que el Centro de Desarrollo Profesional Docente de la Región Oriental fue el responsable de monitorear y evaluar el proceso de ejecución del diplomado en las 10 sedes.

Articulo original : La Prensa Grafica
Escrito por Liliana fuentes - Lunes, 21 diciembre 2009

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León tiene nuevo banco de sangre

Inversión supera los 200 mil dólares aportados por el Gran Ducado de Luxemburgo.
La idea es que se cubra la mayor demanda posible de los hospitales de Occidente.


Rosa Castillo, de 33 años, originaria de León, fue una de las primeras en donar sangre durante la inauguración del nuevo Banco Regional de Sangre.
LA PRENSA/E. LÓPEZ


CORRESPONSAL/LEÓN

Con la donación de 259 mil 997 dólares, por parte del Gran Ducado de Luxemburgo, fue posible la construcción de un nuevo y moderno Banco Regional de Sangre en el departamento de León, que fue inaugurado ayer.

Ayer en horas de la mañana se llevó a cabo el acto inaugural del nuevo edificio, ubicado contiguo al antiguo hospital San Vicente, de la ciudad Universitaria.

Además del edificio, el banco de sangre cuenta con nuevos equipos.

Diana Sandoval Porras, directora administrativa del Banco Regional de Sangre en el Occidente del país, manifestó que la construcción y nuevos equipos es un sueño hecho realidad para los pobladores de León y Chinandega, sobre todo para los hospitales estatales.


“Toda la población de Occidente va a ser beneficiada con esta obra, gracias a la cooperación del proyecto del Gran Ducado de Luxemburgo en conjunto con la Cruz Roja y el Ministerio de Salud”, expresó Sandoval.
 

GRAN DEMANDA

En León existe aproximadamente una población de 400 mil personas. La demanda de sangre en los hospitales asciende a 400 paquetes mensuales (cada paquete contiene 450 mililitros de sangre), pero para cubrirla (la demanda) es necesaria la donación voluntaria de las personas.

“Llegar a los 400 paquetes es una meta que podemos cumplir con el apoyo de la población, tenemos el uno por ciento de la población de León que dona sangre voluntaria, al igual Chinandega”, refirió Sandoval.







Los leoneses y chinandeganos cuentan ahora con un nuevo y moderno Banco de Sangre.
LA PRENSA/E. LÓPEZ




René Berríos, director del Servicio Nacional de Sangre de la Cruz Roja, manifestó que la institución se siente satisfecha de tener el primer Banco Regional de Sangre en el Occidente del país, con todo el equipamiento necesario para la extracción de sangre.

“El objetivo es cubrir la demanda de los derivados a nivel de todo Occidente, incluye el Hospital Escuela Oscar Danilo Rosales Argüello, el abastecimiento de sangre y componentes sanguíneos de otros hospitales de Chinandega”, dijo Berríos.


También los componentes principales del proyecto incluyen capacitación del personal médico y técnico que laboran en el banco de sangre, promoción de la donación voluntaria y no remunerada de sangre y desarrollo de un sistema de garantía de un sistema de calidad.


Articulo original : La Prensa

Por: Eddy López Hernández - Managua, 12 de diciembre, 2009

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Empuje a ecoturismo cafetalero del Norte

Luxemburgo dona US$$1.2 millones para la Ruta del Café, que están siendo entregados en créditos a 130 Pymes del país.

Cerca de 130 pequeños y medianos empresarios turísticos de cinco departamentos del Norte del país son beneficiados por un programa de apoyo y asistencia financiera, con el propósito de aumentar la llegada de turistas al destino conocido como la Ruta del Café.

El proyecto turístico es ejecutado con el apoyo financiero del Gran Ducado de Luxemburgo, cuya primera etapa concluyó ayer con la donación de 1.2 millones de dólares.

El presidente del Instituto Nicaragüense de Turismo (Intur), Mario Salinas, señaló que con los 1.2 millones de dólares aportados por Luxemburgo han asistido a las pymes con créditos y capacitación en gestión empresarial.

Indicó que están gestionando con el Gobierno de Luxemburgo que apoye una segunda etapa del proyecto Ruta del Café, cuyo monto ronda los ocho millones de dólares.

Asimismo, el Gobierno nicaragüense está buscando fondos en España, la Unión Europea y Alemania, entre otros países.
El turismo en cifras
El turismo es uno de los sectores más dinámico de la economía del país, que proyecta cerrar el 2009 con la generación de 300 millones de dólares, según estimaciones preliminares del Instituto Nicaragüense de Turismo (Intur).
205.3 millones de dólares ha generado al país hasta agosto de este año la llegada de 626 mil 170 turistas internacionales.

276.2 millones de dólares generó el sector turismo al país en el 2008, con el ingreso al país de 857 mil 901 turistas.

255.1 millones de dólares dejó en divisas líquidas la llegada de 978 mil 330 extranjeros en el 2007.

230.6 millones de dólares aportó a la economía el sector turismo en el 2006, con el ingreso de 890 mil 930 extranjeros.

“Nosotros tenemos dentro de la Ruta del Café el fondo de financiamiento a las Mipymes (Micro, Pequeñas y Medianas Empresas), que es el que hemos creado con un millón 200 mil dólares, de los cuales 600 mil es un fondo de garantía para que los bancos puedan flexibilizar sus criterios de desembolso”, explicó.

La formación del fondo de garantía ha permitido que el Banco de la Producción (Banpro) también aporte adicionalmente otros 600 mil dólares, para que sean entregados en forma de créditos a los beneficiarios.

Las Pymes reciben en promedio 10 mil dólares en préstamo, con una tasa de interés del 8.9 por ciento y un plazo de pago entre 3 y 5 años.

Salinas destacó que la creación de ese fondo de garantía está permitiendo que las Pymes puedan obtener créditos de la banca privada.

COOPERACIÓN CLAVE


Hasta la fecha, el Intur ha apoyado a 1,200 pequeñas y medianas empresas turísticas en cinco departamentos.

En total, la institución estatal ha desembolsado cerca de cuatro millones de dólares este año, con el apoyo de la cooperación internacional, sobre todo de Taiwán y Luxemburgo.

Salinas señaló que con ese monto han financiado 553 planes de negocios turísticos. Los beneficiarios corresponden a los departamentos de Jinotega, Matagalpa, Estelí, Nueva Segovia y Madriz, zonas donde se impulsa la Ruta del Café.

La Ruta del Café es un proyecto que arrancó en marzo de 2007, con la finalidad de ofrecer a los turistas la oportunidad de conocer los cafetales de alta calidad que existen en el Norte del país.

El ministro Salinas señaló que en promedio unos 70 mil extranjeros visitan cada año las zonas cafetaleras, en su mayoría salvadoreños.

SEGUNDA ETAPA

El consejero técnico principal del Gran Ducado de Luxemburgo en Nicaragua, Joel Astruc, se mostró satisfecho por los alcances que ha tenido el programa en el Norte del país.

Astruc explicó que el proyecto de apoyo de su país a la Ruta del Café inició en 2007.

Señaló que el programa de cooperación de su país, para este proyecto turístico, comprende la entrega de financiamiento, organización de los actores del programa, animación turística, señalización en la zona y capacitación.

“Consideramos que fue un gran éxito, especialmente porque debajo de una estrategia nacional, que es la Ruta del Café, hubo una colaboración constante del sector privado, que fue fundamental”, precisó.

Señaló que posiblemente se apruebe un segundo programa de apoyo para Nicaragua, a principios de 2010, para continuar asistiendo a la Ruta del Café.

Destacó que por lo menos el 70 por ciento de los beneficiarios son pymes, que han mejorado su condición en términos de infraestructura y de servicio turístico.

PROYECCIONES AL FINALIZAR EL 2009


El presidente del Intur aprovechó una conferencia realizada ayer, para reiterar que al finalizar el 2009 el turismo habrá crecido en nueve por ciento, con la llegada de al menos 900 mil extranjeros.

En términos de divisas, el sector aportará este año cerca de 300 millones de dólares, un 20 por ciento mayor que el año pasado.

Para diciembre, según Salinas, se espera la llegada de 115 mil turistas, la mayoría nicaragüenses que viven en el exterior.

205.3 millones de dólares ha generado al país hasta agosto de este año la llegada de 626 mil 170 turistas internacionales. 276.2 millones de dólares generó el sector turismo al país en el 2008, con el ingreso al país de 857 mil 901 turistas. 255.1 millones de dólares dejó en divisas líquidas la llegada de 978 mil 330 extranjeros en el 2007. 230.6 millones de dólares aportó a la economía el sector turismo en el 2006, con el ingreso de 890 mil 930 extranjeros.

Articulo original : La Prensa

Por: Wendy Álvarez Hidalgo - Managua, 27 de noviembre, 2009

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Borikhan first to be struck off list of 47 poorest districts

Borikhan district in Borikhamxay province was the first to be removed from the government's list of the 47 poorest districts in Laos yesterday, after district authorities announced successful poverty reduction there as a result of long-term development efforts.

Vice President Bounnhang Vorachit speaks to a silk trader after attending the poverty eradication announcement in Borikhan district yesterday.
More than 1,000 people gathered for the ceremony as senior officials, local authorities and residents of the district joined to celebrate the announcement by Borikhan district Governor Khen Lormany.

Vice President Bounnhang Vorachit, Borikhamxay Governor Khampane Philavong, and Minister to the Prime Minister's Office and President of the Lao National Leading Committee for Rural Development and Poverty Eradication, Mr Ounneua Phomachanh, also attended the ceremony.

“The government agrees to declare poverty eradication in your district. It is the first to be deleted from the list of the 47 poorest districts in Laos and this certifies your efforts and the great successes by your people in poverty reduction,” said Mr Bounnhang.

He said the declaration also reflected the wise Party leadership of district and provincial authorities.

On behalf of the Party and state, he congratulated and admired the success of the district in achieving this goal.

“We declare Borikhan to be the first district to eradicate poverty among the 47 poorest districts in Laos . This is a good example for other districts as they work to eradicate poverty,” Mr Bounnhang said.

The vice president said this success was only the first step towards lasting development and creating the conditions necessary to help Laos achieve its goal of no longer being a least developed country by 2020.

Borikhan district covers more than 3,000 square kilometres, and has a population of 37,900 people living in 45 villages.

Mr Khen said yesterday that during the 2001-02 academic year an international roundtable meeting held in Laos listed his district as one of the 47 poorest in the country.

From 2004 to 2008 the government carried out a programme to improve living conditions in the district with the help of the government of Luxembourg . Under the programme, 14 projects were implemented with a budget of 2.1 million euros.

“One of our approaches to eradicating poverty was to help local people develop strategies in line with the conditions, practices and capacities of each family. We also focused on changing production from self-sufficiency to trade, especially by growing crops and raising livestock,” Mr Khen said.

Better land management had helped provide local people with farmland to enable them to end slash and burn cultivation, and improved infrastructure was also a factor in helping to eradicate poverty.

“Creating a poverty eradication plan helped us to better living conditions and improved conditions for every family, village and village group in the district towards comprehensive development,” he said.

Mr Khen said the district had abundant natural resources such as rivers, forests and arable land. The district currently has more than 3,580 hectares of rice fields, although only 443 hectares are planted in the dry season.

Other crops are grown on 2,172 hectares, up 27 percent compared to 2005.

The district's GDP has reached more than 186 billion kip with an average annual per capita income of US$607, an increase of 64 percent compared to 2005, he said.

By Panyasith Thammavongsa
(Latest Update December 24, 2009)

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