30.10.09

AFR/017 - Promotion de Secteurs Financiers inclusifs dans la zone UEMOA







COMMUNIQUE DE PRESSE


Atelier de restitution à mi-parcours de trois études réalisées dans le cadre du Projet AFR/017 "Promotion de Secteurs Financiers Inclusifs dans la zone UEMOA"
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En vue de la consolidation du secteur de la microfinance dans l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA : Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo), la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) a élaboré en 2004 un Programme d’Appui à la Finance Décentralisée (PRAFIDE) appuyé, dans sa mise en oeuvre, par des partenaires au développement dont le Gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg, à travers un projet sous régional dénommé AFR/017 "Promotion de Secteurs Financiers Inclusifs dans la zone UEMOA".


Dans le cadre du projet AFR/017, il est organisé les 26 et 27 octobre 2009 à l’hôtel Mercure Silmandé de Ouagadougou, un atelier de restitution des résultats intermédiaires de trois études menées dans les pays de l’UEMOA.


Les trois études, qui visent à contribuer à la professionnalisation du secteur de la microfinance dans l'UEMOA, portent sur :

  • le guide méthodologique de contrôle interne pour les systèmes financiers décentralisés (SFD) ou institutions de microfinance ;
  • le guide méthodologique d’audit externe pour les SFD ;
  • le guide de transformation institutionnelle des SFD dans la Zone UEMOA.
L'atelier verra la participation des principaux acteurs et partenaires impliqués dans la mise en oeuvre du projet AFR/017, à savoir : la BCEAO, les Ministères des Finances, les Ministères en charge de la Micro finance, les Associations Professionnelles des Systèmes Financiers Décentralisés (AP/SFD), les SFD partenaires, les Partenaires Techniques et Financiers (PTF) et les représentants des Ordres Nationaux des Experts Comptables Agréés (ONECCA).


D’une durée de cinq (5) ans (2008-2012) pour un budget de 21,4 millions d’Euros (14,0 milliards FCFA), le projet AFR/017 est exécuté conjointement par la BCEAO et Lux-Development pour le compte de l’UEMOA. Son objectif général est de consolider le secteur et de maîtriser les risques liés à la microfinance dans la zone UEMOA.







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7.10.09

European Development Days


European Development Days (EDD) are Europe’s foremost platform for discussion and exchange on global challenges in all key areas – governance, climate change, international finance, trade, food security, water, energy, the role of the media and human and social rights. Previous editions have seen the participation of Heads of State and Government, Ministers and world-renowned leaders such as Desmond Tutu, Kofi Annan, Richard Branson, Wangari Maathai and Aminata Traore.

POLICY MAKING

This year’s EDD, in Stockholm (22-24 October), falls one month after the G-20 Leaders meeting in Pittsburgh, two weeks after the IMF-World Bank meeting in Istanbul and six weeks before the UN Climate Change Conference in Copenhagen. Against this backdrop, the 2009 edition will focus on the global response to the economic downturn and climate change, as well as on the challenges of democracy and development.

Speakers this year include Fredrik Reinfeldt, Swedish Prime Minister; José-Manuel Barroso, European Commission President; IMF chief Dominique Strauss-Kahn and leaders of the World Bank, Asian Development Bank and African Development Bank. Amr Moussa, Secretary General of the League of Arab States will also be speaking, along with UNDP administrator Hellen Clark, the Presidents of Liberia, Sierra Leone, Maldives, Burkina Faso and Micronesia and the Prime Ministers of Bangladesh, Kenya and Zimbabwe. The new European Parliament president, Jerzy Buzek, and members of EP committees will also be there. Representatives from NGOs Transparency International, ActionAid International and Oxfam International will be giving the view from civil society.

CARBON NEUTRAL

Hosting a large-scale event attracting people from the four corners of the world creates its share of CO2. It would be irresponsible to address the world’s development challenges at an international gathering without considering its impact on the environment – especially as global warming could push millions back into the poverty trap. However, these CO2 emissions can be offset through a range of schemes investing in energy efficiency anywhere in the world. Thus, exhibitors and parallel event organisers are asked to help offset the EDD carbon footprint by contributing to a carbon-offset scheme of their choice.

EDD’s KEY FACTS AND FIGURES

  • 5,000 participants from 125 countries
  • 3 days of meetings, exchange and debate
  • 200 speakers
  • 5 plenary sessions and 25 parallel events
  • 150 exhibition stands in the Development Village including a joint stand with the MFA and LUXDEV representing Luxembourg.

INCLUSIVE AND PARTICIPATORY

Discussion panels are carefully gender balanced and geographically representative. Its openness allows it to be inclusive and blend a great diversity of political leaders and parliamentarians, international institutions, local authorities, NGOs, business leaders, academics, researchers, media representatives and the young. Any stakeholder can propose speakers, events, network meetings or exhibitions. Its participatory approach results in an agenda, which includes over 30 events, half of which are stakeholder-driven.

This event is organised by the European Commission in co-ordination with the Swedish Presidency of the EU. For more information visit www.eudevdays.eu

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Journées européennes du développement


ENSEMBLE POUR LE DÉVELOPPEMENT

Les Journées européennes du développement (JED) constituent le principal forum européen d'échange et de discussion sur les grands enjeux mondiaux actuels: gouvernance, changement climatique, finance internationale, commerce, sécurité alimentaire, eau, énergie, rôle des médias, droits de l'homme et droits sociaux. Les précédentes éditions ont accueilli des chefs d'État et de gouvernement, des ministres et des personnalités mondialement connues telles que Desmond Tutu, Kofi Annan, Richard Branson, Wangari Maathai et Aminata Traore.


ÉLABORATION DES POLITIQUES

Les JED se tiendront à Stockholm du 22 au 24 octobre, un mois après le sommet du G20 à Pittsburgh, deux semaines après l'assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale à Istanbul et six semaines avant la conférence des Nations unies sur le changement climatique à Copenhague. Dans un tel contexte, l'édition 2009 sera consacrée à la réponse mondiale à la crise économique et au changement climatique, ainsi que sur les enjeux de la démocratie et du développement.

De nombreuses personnalités prendront la parole, parmi lesquelles Fredrik Reinfeldt, premier ministre suédois; José-Manuel Barroso, président de la Commission européenne; Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, ou encore les dirigeants de la Banque mondiale, de la Banque asiatique de développement et de la Banque africaine de développement. Le secrétaire général de la Ligue des États arabes, Amr Moussa, l'administratrice du PNUD, Helen Clark, les présidents du Libéria, de la Sierra Leone, des Maldives, du Burkina Faso, de la Micronésie, ainsi que les premiers ministres du Bangladesh, du Kenya et du Zimbabwe interviendront également. Le nouveau président du Parlement européen, Jerzy Buzek, et des membres de certaines commissions parlementaires représentants des ONG Transparency International, ActionAid International et Oxfam International feront entendre le point de vue de la société civile.


UN FORUM SANS CARBONE

Un événement de cette ampleur, qui réunit des participants venus des quatre coins de la planète, génère des quantités non négligeables de CO2. Il serait irresponsable d'organiser un rassemblement international pour parler des enjeux mondiaux du développement sans tenir compte de ses répercussions sur l'environnement, et ce d'autant plus que le réchauffement climatique pourrait pousser des millions de personnes dans la pauvreté. Ces émissions peuvent toutefois être compensées par des projets d'efficacité énergétique entrepris ailleurs dans le monde. Nous demandons par conséquent aux exposants et aux organisateurs d'événements parallèles de compenser l'empreinte carbone des JED en finançant un projet de leur choix.

LES Journées européennes du développement EN FAITS ET CHIFFRES

5 000 participants venus de 125 pays

3 jours de rencontres, d'échanges et de débats

200 intervenants

5 sessions plénières et 25 événements parallèles

150 stands dans le village du développement dont celui du Luxembourg (MAE/ LUXDEV).

UN ÉVÉNEMENT QUI S'ADRESSE À TOUS

Chacun a son mot à dire lors des JED. Les groupes de discussion sont équilibrés, tant sur le plan de la représentation hommes-femmes que de l'origine géographique. Grâce à son ouverture d'esprit, le forum fait participer tout le monde et réunit une multitude de dirigeants politiques, parlementaires, institutions internationales, autorités locales, ONG, chefs d'entreprises, universitaires, chercheurs, représentants des médias, ainsi que des jeunes. Chaque partie prenante peut proposer des intervenants, des événements, des réunions ou des expositions. Cette approche participative a abouti à un programme comprenant plus de 30 événements, dont la moitié est organisée par les parties prenantes.

Cet événement est organisé par la Commission européenne, en collaboration avec la présidence suédoise de l'UE. Pour en savoir plus, aller sur www.eudevdays.eu

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